Le cass du siècle tranformé en tronche cassée [Libre]

Il est tard pour ceux qui se lèvent tôt ou tôt pour ceux qui se couchent tard ..
tout à un sens dans la vie et rien n'est jamais acquis.
Surtout pas ici à New York, la grosse pomme ne dort jamais, comme l'être qui se promène de toits en toits sa cape noire
recouvrant toutes les parties de son corps hormis ce gant blanc qui tient cet étrange bâton ...
et cet homme passe de toits en toits sans souffrir des distances qui les séparent comme s'il volait.

Une Bijouterie, l'heure de la pause de midi se rapproche,
et les derniers clients de la matinée se préparent à rentrer, certains portant des valises attachées à leur avant bras,
d'autres ressemblant à des clients somme toute lambdas. Et puis un cri ...
un coup de feu et les portes blindées retombent bloquant une vingtaine de personnes dans ce lieu ou
l'art de la verroterie se mèle à celui de la contrefaçon ou du blanchiement d'un argent aux couleurs très salies ...

Six hommes font erruption, et tirent à tout va sur les deux agents de sécurité,
eux leur job s'achèvent en même temps que leur vie ...
la caissière fonce vers le bouton rouge mais pas le temps d'appuyer que ses yeux se ferment
suite à la balle qui traverse son crâne, trois morts, et ce n'est que le début ...
Le commando abat les hommes et femmes qui résistent et dès que les 6 victimes furent décomptées,
le reste des futurs otages s'asseoit gentiment ... pleurant, hurlant, priant le très haut qu'un spidey ou un autre intervienne ...
rêvez mes enfants, Spidey est en vacance semble se dire le chef de la bande.

Et puis ...

Le rideau blindé se lève, tordu, arraché soudainement, et un homme en cape noire apparaît dans la lumière
salissant la beauté macabre d'un sang perlant et coulant au centre de la pièce.
Le commando reprend vite ses esprit et ses 6 membres ouvrent le feu, un déluge de feu et d'acier
s'abat sur l'homme à la cape et au bâton, les balles hurlant et ricochant ... ,
laissant vite apparaître sous les impacts de celles ci, un costume sombre, parsemé de couleurs blanches ...
alors puisqu'au corps ça rebondit, les tirs se dirigent sur la tête, pour un même résultat ...
la cape laisse entrevoir un masque blanc, qui lui même laisse apparaître un regard de fou furieux,
un regard de tueur psychopathe.

Et puis ...

Les hommes rechargent vite leurs armes, et un éclair d'énergie électrique frappe le premier à la poitrine,
il s'écroule à terre, son gilet pare balle déchiqueté et son thorax fumant ... il est complètement grillé ...
et l'odeur pestilentielle qui s'empare des narines de chacun ...
l'un des hommes panique et tente de s'enfuir mais la main gantée le saisit à la gorge, et sans un mot,
sans un bruit dans la bijouterie, la main serre ... et CLAC ... la nuque rompt ... l'homme est mort net et sans bavure ...
trois éclairs d'energie viennent frapper trois des quatre surviviants et ils s'écroulent tous à terre,
dans le même état que leur copain, et l'odeur de chairs brûlée fait dégobiller quelques otages ... il n'en reste qu'un ...

et puis ...